CM 2018 : « ON NE VA PAS A LA COUPE DU MONDE POUR FAIRE DE LA FIGURATION » (MOUSSA SOW)
27 mai 2018Diass-Infos: L’équipe nationale du Sénégal n’ira à la coupe du monde de football prévue du 14 juin au 16 juillet 2018 en Russie pour « faire de la figuration », mais plutôt pour aller le plus loin possible, a indiqué entendre Moussa Sow, l’un des 23 Lions sélectionnés par Aliou Cissé.
« Il faut croire en nous. On n’y va pas pour faire de la figuration, nous y allons pour aller le plus loin possible », a notamment dit Moussa Sow, à la fin de la dernière séance d’entrainement des Lions à Saly-Portudal (Mbour, ouest), en attendant le démarrage de la seconde phase de leur regroupement à Vittel, en France.
« On s’entraine bien, on rigole, il y a de la joie, ça fait du bien. Mais le plus important, c’est le boulot. Les matchs que nous allons jouer sont des tests qui vont nous permettre de nous évaluer avant notre premier match le 19 juin prochain », a soutenu Sow.
Selon lui, « la concertation » est la chose la plus déterminante pour l’équipe durant ce mondial, car, dit-il, « si on est concentré, on pourra aller loin, mais si on manque de concentration, on n’ira pas loin. Il faut qu’on ait un groupe uni et solidaire pour aller le plus loin possible ».
Pour sa part, l’un des défenseurs centraux de la tanière, Kara Mbodji a, d’abord, rendu grâce à Dieu qui lui a permis d’être permis les 23 joueurs devant défendre les couleurs du Sénégal à cette coupe du monde.
« Dieu merci, j’ai été absent des compétitions pendant cinq mois, mais aujourd’hui, je tiens à remercier le peuple sénégalais, ma famille et mon club qui m’a mis dans de très bonnes conditions de travail. Maintenant que je suis de retour, je rends grâce à Dieu », a dit le défenseur d’Anderlek, en Belgique.
« Il y a cinq jours j’ai joué 90 minutes durant lesquelles tout s’est très bien passé. Le travail continue et s’il plait à Dieu, les sénégalais verront de leurs propres yeux », a-t-il promis.
Kara Mbodji reconnaît toutefois avoir passé « des moments difficiles » durant lesquels il dit avoir « travaillé dur pour pouvoir revenir ».